Le Musée de l’Automobile de Vendée, est une collection privée, qui à pour origine la passion d’un homme pour la mécanique et l’automobile, Gaston GIRON. Il entre dans le monde de l’automobile dès l’âge de 12 ans dans un atelier de mécanique générale.
En 1929, il construit son premier garage en Vendée pour lequel il obtiendra la concession des automobiles Mathis.
A partir de 1950, il s’amuse à récupérer les voitures qui le faisaient rêver enfant, toutes ces marques oubliées françaises, Léon Bollée, Darracq, Mors, Delage, Bignan.
Une majorité de ces véhicules étaient en mauvais état et faisaient l’objet de restaurations pendant lesquelles Gaston Giron a transmis sa passion, et ses connaissances à son fils. Plus tard Valy Giron participera avec son père à de nombreux rallyes en France et à l’International.
En 1967, Gaston présente au public une exposition d’une trentaine de voitures qui l’amènera en se développant à fonder le musée familial « Musée Automobile de Vendée » dont Valy Giron est actuellement le directeur.
Aujourd’hui, le Musée présente pas moins de 160 véhicules, cycles, motocycles, et voitures hippomobiles, ainsi qu’une exceptionnelle collection d’affiches anciennes, panneaux publicitaires et accessoires d’époque, sur 3 300 m², ainsi que la reconstitution du premier garage (1929) de Gaston GIRON.
Le Musée fait à ce jour 55 000 entrées en 6 mois. Chaque année, de nouveaux modèles restaurés, dans leurs ateliers, pendant les mois d’hiver, viennent compléter la collection.
Valy Giron est également affilié à la FFVE sous le N°15. Président de la FFVE depuis juillet 2014, il était jusqu’alors Administrateur au sein du Collège Musée.
En 1968, Monsieur Brezout se fait engager par SIMCA en tant qu’OS et tombe amoureux de ce monde d’automobiles anciennes.
Robert-Louis fut admis par la suite au Bloc n°3 à Poissy, dans lequel on y retrouvait tous les éléments de fabrication d’une automobile : assemblage des carrosseries, peinture, montage des moteurs et montage électrique de la sellerie. C’est en occupant ce poste qu’il eut un coup de cœur sur une Hotchkiss. Il se fit ainsi la promesse d’en posséder une un jour.
Il s’intéressa rapidement aux voitures américaines, Cadillac, Imperial, Lincoln, Packard, Studebaker, etc. Il se forma à la mécanique et acquis le sens du détail original en allant admirer les concours de restaurations en Californie et en Pennsylvanie.
Deux de ses voitures ont finalement concourues à Bagatelle, et furent primées : une berline Imperial 61 en 1998 et un cabriolet de la même marque et même année en 2002.
Par la suite il a voulu intégrer une action importante et a donc rejoint l’équipe de la FFVE, Fédération Française des Véhicules d’Epoque, dans laquelle il a crée les Concours d’Etat et de Restauration. Plus tard, le Manuel d’Examen des Véhicules restaurés est venu couronner ses années dédiées à la recherche des détails de restauration authentiquement originaux.
Directeur de la publication et fondateur du magazine Youngtimers, François-Xavier Basse est titulaire d’un master en histoire économique et sociale, sur le thème de l’automobile et de la publicité, obtenu en 2001 sous la direction de Jacques Marseille (université Paris I – Panthéon Sorbonne). Diplôme en poche, il entre au service marketing chez Ford France puis bifurque très rapidement vers la presse automobile – un vieux rêve – en décrochant un premier poste en tant que journaliste au service enquêtes d’Auto Plus.
Six ans plus tard, il décide de faire cavalier seul et se lance dans la création de différents magazines autour de l’automobile pour le compte d’éditeurs de presse. Aujourd’hui gérant de la société éditrice Mag Factory, il est à la tête du célèbre magazine Youngtimers, dont l’objectif est de faire (re)découvrir les voitures cultes des années 1970 à 90.
Achetée en 1996, sa première voiture fut une Peugeot 205 GTI 1.6, et il ne roule qu’en youngtimer depuis lors, prenant autant de plaisir à flâner sur les petites routes de campagne en Citroën 2 CV 6 qu’à traverser l’Allemagne au volant de sa BMW M3. Sa voiture de fonction ? Un break Volvo 240, car il n’y a pas mieux pour les travellings !